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[Olaf]

[Hidden Side]

Bon allez, je me met sur les rangs... Je ne sais pas du tout ce que je pourrais raconter, mais tant pis. Un chouette challenge d'éplucher les oxymore en si peu de mots (surtout pour moi, qui suis du genre à ne pas savoir faire moins de 50 K avec scénario tordu à la clef...)

Ça me fait un peu penser à "l'OuLiPo" (l'Ouvroir de Littérature Potentielle) et ses règles débiles ayant pour but de libérer la créativité de ses adorateurs... (par exemple, tout un roman sans la lettre "e")

Le plaisir se trouve dans le dépassement de la contrainte. Un peu comme le sexe, finalement

[café-clope]

[Hidden Side]

C'est marrant, ton sujet semble avoir fait des émules, Olaf : dans la liste des textes en attente de publication, je vois "L'indécente pudeur de Lady Ann" posté le 20 juin par OlivierK. (peut-être sortira-t-il en nouveautés le 30 juin ? )

De mon côté, j'aurais mon petit texte à proposer ce jour-là...

[Olaf]

[Olaf]

[favasso]

Nous sommes le 1er juillet. Je viens de lire le texte d'Olivier K, dont j'ai dit tout le bien qu'il m'a inspiré, puis j'ai lu celui de Café-Clope sur ce fil et je vais ici en dire comment j'ai trouvé : dans un style agréable à lire, le sujet est encore moins traité que chez Olivier puisque la voisine n'est même pas pudique, elle s'exhibe en toute conscience, certes pas complètement à poil mais pas loin.
Avec Olaf, les choses deviennent plus subtiles. Nadine a des charmes cachés aux yeux du commun (ce qui suppose que le narrateur, préalablement conquis, ne fait pas partie du commun). Elle est pudique en ce sens qu'elle n'aime pas son corps mais surtout qu'elle s'offre pour une relation furtive, estimant en cela qu'elle ne se juge pas méritant une liaison durable. Sa pudeur est là.
Vient ensuite Hidden Side. Là, le narrateur considère sa créature avec mépris : c’est une nymphomane. D’ailleurs il lui applique de suite la distanciation du « tutu », loin de lui cette vipère. Le sujet est-il traité ? Pudeur, débridée, indécente, il faudrait autant de définitions. La fille de HS n'est pas naturellement pudique au sens commun, et ses antécédents avec son père "brouillent l'écoute". Qu'elle s'éprenne d'un père fouettard susceptible de laver la tache qu'elle estime porter peut justifier "débridé", elle en deviendra peut-être "indécente", mais la "pudeur" ? Je l'ai perdue en route. Il est vrai que les questions PSY me sont bien difficiles.
Passons à Iam.k . j'ai le regret de dire que je suis perplexe, l'impression de n'avoir pas saisi grand chose, sauf une tentative de pamphlet à la manière du Canard Enchainé dans lequel la dirigeante d'une contrée se voit frappée d'un charme (au sens fort ancien) qui l'incite a débrider une soif de pudeur et de respectabilité. Comme si Ségolène Lolhe n'avait pas un projet politique blanc comme neige...Incroyable, pas crédible pour un rond.
La suite en "édition".
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Pilotes, oui bien sûr, n’est-ce pas nous les hommes qui nous sommes vu confier le manche ? (Patrick D)

[café-clope]

A ma décharge, je dois avouer humblement que la notion de pudeur appliquée au sexuel et au périsexuel m'est assez étrangère.
Du coup j'ai vraiment été très à la peine pour écrire à ce sujet. Et je ne suis pas du tout satisfait de mon rendu, sans pour autant estimer pouvoir faire mieux.

Je vais écrire un haïku et m'ouvrir le ventre, tiens...
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It's only rock'n roll...

[Olaf]

[café-clope]

Au risque de passer pour monomaniaque, j'aimerais me faire confirmer quelque chose:

les textes jaunes sont bien autorisés, dans le cadre du concours?
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It's only rock'n roll...